Campagne
Amnesty tourne la liberté d’expression en punchline
Client
Amnesty France - Ghost
Amnesty France - Ghost
Service
Campagne de com'
Campagne de com'
Crédit
Jules Ruffin - Quentin Clauzel
Jules Ruffin - Quentin Clauzel

Pour réveiller une génération désensibilisée, Amnesty détourne un format culte de YouTube. Anecdotes absurdes, nez de clown et visuels coup-de-poing : une campagne qui fait rire… jaune. Parce que la liberté d’expression, c’est jamais anecdotique.

No items found.

Tu penses que la liberté d’expression, c’est un acquis ? En 2025, Amnesty veut secouer les 18-30 ans en leur rappelant que non, ce droit fondamental n’est ni garanti, ni éternel. Pour toucher une génération bercée par YouTube et les formats courts, le brief était clair : sortir du discours militant plan-plan sans trahir l’ADN Amnesty. Spoiler : ça pique.

On a donc détourné le “Concours d’anecdotes” de McFly & Carlito — un format culte, familier, et déjà crédible sur les sujets chauds. Entre vraies punchlines et fakes absurdes, chaque anecdote dénonce des atteintes bien réelles aux droits fondamentaux. La mécanique est simple : on te fait rire, puis on te glace. Chute obligatoire : "Et ce n’est pas anecdotique." Un slogan, un uppercut.

Graphiquement, on reste dans le jaune d’Amnesty, mais twisté version clash visuel : portraits froids de figures politiques en noir et blanc, sabotés par un nez de clown. Détail absurde, contraste brutal. On pousse la DA vers quelque chose de plus pop, plus agressif, plus générationnel. Typo brute, compo minimaliste. Chaque visuel est une affiche de protestation 2.0.

Résultat ? Une campagne qui troll les codes de l’info, titille la viralité, et fait passer un message engagé par des chemins détournés. Pas besoin d’un mégaphone pour se faire entendre. Juste d’un bon storytelling, d’un visuel bien tapé, et d’un nez rouge posé au bon endroit.

projets
Jette un œil
aux autres pépites